Les cadres supérieurs et les dirigeants d’entreprise peuvent compromettre leur avenir professionnel avec un départ précipité et mal organisé. En effet, la négociation de départ est une étape cruciale qu’il ne faut surtout pas négliger pour pouvoir partir dans de bonnes conditions. Aujourd’hui, des spécialistes en la matière comme ce site se mettent à disposition de ces personnels cadres d’entreprises pour les épauler et les conseiller tout au long de cette démarche.
Comprendre les modalités du départ
Poser sa démission semble être la solution la plus idoine quand le poste ne procure plus le même enthousiasme qu’au temps de l’embauche. De plus, cette décision rejoint l’envie d’un employé d’offrir un nouvel élan à sa carrière professionnelle. En principe, le départ motive la personne à chercher des perspectives plus intéressantes ou de lancer enfin ses propres projets de carrière tels que la création d’une PME. Quel que soit le scénario, le plus important consiste à bien préparer son départ. Pour le cas d’un cadre dirigeant, la négociation du départ est une étape inévitable pour démissionner dans les meilleures conditions possibles.
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Selon les textes légaux, la démission n’ouvre droit à aucune indemnité venant de l’employeur et moins du Pôle Emploi. Etant donné que le salarié est maître de sa décision, il peut tirer un trait à toutes ses allocations. Par contre, les indemnités dues à l’employé peuvent être définies d’un commun accord entre les parties prenantes, si et seulement si, une rupture conventionnelle a été adoptée. Quoi qu’il en soit, cette démarche renferme un inconvénient de taille dans son esprit consensuel. L’employeur a le droit de refuser la signature de la rupture conventionnelle dans la mesure où il ne décèle aucun intérêt pour son entreprise. Ainsi, le cadre peut déjà penser à l’option de démission sauf s’il prend le risque d’attendre son licenciement. Ici encore, la vigilance est de mise puisqu’une faute grave peut éliminer tous les droits de l’employé.
La négociation d’un départ pour un cadre reste la meilleure des solutions
Le cadre dirigeant ne peut pas prendre le risque de démissionner sans intenter la démarche de négociation de départ avec ses supérieurs. Il s’agit surtout d’emmener le dossier sur le terrain d’un départ à l’amiable où le désir de l’employé de quitter son travail peut être accepté sans problème par l’employeur. Dans le cas d’une rupture conventionnelle, les deux parties se mettent d’accord sur les conditions financières, mais le salarié peut être privé de plusieurs mois d’indemnités dans le cas où l’employeur prévoit de ne pas dépasser un montant bien précis. Pour la transaction, la négociation a pour mandat de prévenir ou de mettre un terme aux litiges. L’objectif de ce type de négociation de départ se résume à la réduction de la durée du préavis et aux efforts entrepris pour permettre au salarié de bénéficier d’une indemnité de départ.
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